mardi 6 décembre 2011

Mitsubishi asx


Pour tenter de se relancer dans un marché automobile de plus en plus concurrentiel, Mitsubishi entend changer d'image. Baptisé ASX, son instrument de conquête investit le créneau du crossover compact. Une idée séduisante, sur un créneau cependant fort concurrentiel.

Mitsubishi revient de loin. Lâchée par le groupe Daimler au début des années 2000, la firme aux Trois Diamants s'est retrouvée livrée à elle-même, sans grandes garanties techniques. En outre, son positionnement produit essentiellement axé sur le 4x4 tranchait avec les réalités d'un marché hostile à ces véhicules particulièrement énergivores. Quant aux berlines classiques comme la Colt et la Lancer, elles manquent cruellement d'arguments face à une concurrence autrement mieux pourvue.


Mitsubishi ASX 1.8 Di-D 150 ch
Ajoutez à l'ensemble une actualité produit plutôt pauvre et vous obtenez une période particulièrement difficile. Pour tenter de refaire surface, Mitsubishi doit tout d'abord se débarrasser de cette étiquette de fabriquant de tout-terrain et proposer des véhicules socialement plus acceptables. Mais vu sa légitimité moyenne sur les segments classique, la firme Nippone a choisi d'investir le segment du crossover compact.

L'arme de reconquête se nomme donc ASX et à l'instar de ce que fut l'Outlander pour le 4007 et le C-Crosser, lui aussi donnera très bientôt naissance à deux autres petits SUV, respectivement badgés Peugeot et Citroën.

UN HABITACLE BASIQUE

Mitsubishi ASX 1.8 Di-D 150 ch
Et comme un crossover répond avant tout à un besoin de se démarquer d'une compacte plus conventionnelle, l'ASX doit d'abord séduire.

Plutôt compact pour la catégorie avec une longueur approchant les 4,30 m, il reprend les derniers gimmicks stylistiques maison. Ainsi, sa proue adopte la calandre Jet Fighter et le regard acéré cher à la marque. Le reste demeure plus classique, pour un ensemble qui au final ne manque pas de dynamisme. Tout au plus lui manque-t-il peut-être le petit parfum d'aventure que l'on attend d'un tel véhicule...

Mitsubishi ASX 1.8 Di-D 150 ch
Censé être la synthèse positive de différents segments, l'habitacle se montre pour sa part un peu moins engageant. Bien sûr, la présentation sportive flatte la rétine et les quelques plastiques moussés de la casquette de planche de bord font un temps illusion. Mais le reste des matériaux plutôt "bon marché" déçoit, tandis que les assemblages manquent de rigueur. Sur ce point, la concurrence emmenée par le Volkswagen Tiguan ou le Ford Kuga (lire notre Comparatif) fait beaucoup mieux...

Côté pratique, l'ASX n'apporte rien de bien neuf non plus. Aucun rangement n'est prévu à l'arrière à l'exception d'une aumônière derrière le siège passager. Quant à l'avant, il offre tout juste le minimum syndical. En revanche, le SUV nippon choie ses passagers arrière avec une place aux jambes largement suffisante pour les grands gabarits, une hauteur sous plafond à l'unisson et... une assise moelleuse particulièrement accueillante.

Mitsubishi ASX 1.8 Di-D 150 ch
Niveau volume de chargement, avec 416 litres le coffre de l'ASX se montre un peu plus vaste que celui des Ford Kuga et Nissan Qashqai (410 l.), mais bien moins généreux face à celui d'un VW Tiguan (470 l.) ou d'un Hyundai iX35 (591 l.).

Enfin, la modularité se contente de l'essentiel avec une assise fixe et des dossiers rabattables séparément, libérant un espace de chargement plat. Pour anecdote, un petit double fond dans lequel se cache le kit anti-crevaison permet de libérer un peu d'espace pour quelques petits objets.

Toyota corolla 2011


La Toyota Corolla est débarquée en Amérique en 1968. Même si elle a connu plusieurs changements au fil des années, la Corolla d’aujourd’hui est demeurée la même qu’à ses débuts. Abordable à l’achat, économique à l’entretien, mécaniquement simple, fiable, de dimensions raisonnables, confortable, mais pas nécessairement jolie : cette description s’applique autant au modèle 1968 qu’au 2011!
C’est donc avec un certain plaisir que nous avons dernièrement renoué avec la Corolla, cette voiture toujours très populaire même si elle ne figure plus parmi les toutes premières au chapitre des ventes. En 2010, par exemple, la paisible compacte se situait au huitième rang des meilleurs vendeurs au Canada, derrière le Ford F-150, le duo Chevrolet Silverado/GMC Sierra, la Honda Civic, la Dodge Grand Caravan, le Dodge Ram, la Mazda3 et le Ford Escape, ainsi que devant les Hyundai Elantra et Santa Fe.

Savoir répondre à la demande

Pour faire partie de ce groupe sélect, il faut répondre en tout point à une demande de la population. C’est exactement ce que fait la Corolla. Pour la grande majorité des gens, une voiture est un objet de consommation qui permet de se déplacer du point A au point B, point à la ligne. Pas besoin d’une tenue de route de F1 ou d’un luxe à en faire rêver un cheik d’Arabie.
L’hiver dernier, la Corolla a connu certains changements esthétiques. La partie avant a été modifiée un peu et l’arrière reçoit des lumières différentes. Dans l’habitacle, on a surtout revu le volant, qui présente désormais une partie inférieure rectiligne, un peu comme l’Audi R8!

On régresse


Le tableau de bord ne fait pas plus jojo pour autant et le gris souris et le noir sont à l’honneur. Les diverses commandes sont bien disposées, aisées à comprendre. Toutefois, je ne saisis pas comment les designers ont réussi à intégrer une horloge dans la partie centrale inférieure du tableau de bord. Elle semble provenir d’un reste de stock des années 1980! Même la Corolla 2006 S de mon père affiche une montre bien intégrée.
Les sièges sont confortables, la visibilité est très bonne tout le tour et la qualité d’assemblage est généralement au-dessus de la moyenne, même si la qualité de certains plastiques laisse à désirer. Les places arrière sont faciles d’accès et confortables. Leur assise haute est une bénédiction pour les gens souffrant de rhumatisme ou qui sont moins mobiles. Le coffre est de bonnes dimensions, mais l’empiétement des pentures dans l’espace de chargement les réduit d’autant. Il est possible de baisser les dossiers de la banquette arrière de façon 60/40 pour agrandir cet espace. Cependant, ils ne forment pas un plancher plat, ce qui est dommage.

Transmission romantique

Côté mécanique, on retrouve un quatre cylindres 1,8 litre développant 132 chevaux. Cette écurie est suffisante pour la plupart des besoins même si, à l’occasion d’un dépassement par exemple, on aimerait avoir plus de pédale.
La transmission de base de notre modèle d’essai est une manuelle à cinq rapports qui, ma foi, est presque agréable à manipuler. Dans la Corolla S que nous avons conduit, la course du levier de vitesse n’était pas trop longue et ledit levier ne semblait pas pris dans du beurre chaud. L’embrayage pourrait offrir un peu plus de résistance et de sensations, mais j’ai déjà vu bien pire dans le passé. Cependant, la plupart des gens optent plutôt pour la boîte automatique… à quatre rapports seulement.
Dans la réalité actuelle, quatre rapports pour une transmission, c’est comme s’éclairer à la chandelle. Ça ne se fait plus! Sauf pour le romantisme… Mais comme elle fait du bon boulot (la transmission, pas la chandelle!), on ne lui en tiendra pas rigueur. Malgré tout, un rapport supplémentaire aiderait à diminuer la consommation, déjà bien contenue, et le bruit dans l’habitacle, peu contenu.

Une Corolla plus sportive


Assez curieusement, Toyota offre une Corolla plus sportive, la XRS qui reçoit un quatre cylindres de 2,4 litres de 158 chevaux. Certes, les performances sont plus éclatantes (c’est un peu fort comme adjectif, remarquez…), mais le fait que le moteur doive toujours être stimulé pour en extirper les chevaux supplémentaires ne rend pas cette Corolla plus agréable à conduire, surtout en ville. Une manuelle à cinq rapports est livrée d’office avec cette variante tandis que l’automatique possède, tenez-vous bien, cinq rapports!
Sur la route, il faut oublier toute prétention sportive et nul doute que bien peu d’acheteurs de Corolla songent à aller tester les limites de leur voiture à Sanair les vendredis soirs! Les suspensions, indépendante à l’avant et à poutre de torsion à l’arrière sont plutôt axées vers le confort même si une route en mauvais état (oui, oui, au Québec ça se trouve) a tôt fait de déstabiliser le train arrière. Les courbes prises avec trop de testostérone font immédiatement ressurgir un certain roulis tandis que la direction, trop assistée, affiche cruellement son manque de retour d’information.
La Corolla 2011 se décline en quatre versions : CE, LE, S et XRS. La S (pour Sport !) nous apparaît être le meilleur compromis prix/équipement. La XRS, de son côté, me laisse totalement froid, ne serait-ce que pour son moteur trop pointu et ses suspensions plus dures. Selon moi, cette version ne correspond pas du tout à ce que devrait être une Corolla : une voiture simple, facile à vivre au quotidien, fiable à défaut d’être excitante et conservant une excellente valeur de revente.

Citroen berlingo 4x4

 
L'entreprise Dangel est l'un des spécialistes français du 4x4. Société discrète, située à Seintheim (68), elle conçoit et produit des 4x4 à partir de véhicules de série (notamment les gammes utilitaires de chez PSA Peugeot Citroën et leurs dérivés VP comme les Citroën Berlingo ou Peugeot Partner) depuis plus de 25 ans. Les plus anciens d'entre nous se souviennent sans doute des Peugeot 504 pick-up 4x4 ou encore des Peugeot 505 break 4x4 dont certaines ont équipées la gendarmerie...
Dangel va profiter du prochain Mondial de Paris pour présenter le prototype d'un Citroën Berlingo 4x4 (en photo ici) affichant un look inédit, dans un esprit "baroudeur et ludique" précise le constructeur.
Conçu en en étroite collaboration avec Camille Diebold, designer installé près d'Obernai qui a été pendant quatre ans collaborateur de Franco Sbarro, il reçoit un spoiler avant, des élargisseurs d'ailes et des bas de caisse en polyuréthane de couleur foncée. Concernant l'aspect technique, ce Berlingo est conforme aux transformations habituellement réalisées par Dangel.
Dangel précise qu'en cas d'accueil favorable lors du Mondial, il pourrait par la suite le proposer sur "différents marchés européens par le biais des filiales et importateurs Citroën".
Ce prototype sera exposé sur le stand Dangel (Hall 1 - Allée C - Stand 411).

partner tepee



Plus typé "baroudeur" que son jumeau le Citroën Berlingo, le petit Lion devrait séduire une clientèle plus jeune et plus urbaine.


Le temps passe...


En cette année 2008, le jeune marché des ludospaces est en pleine ébullition : les trois stars du segment -le Renault Kangoo et le duo Citroën Berlingo / Peugeot Partner- cèdent leur place à leurs homonymes. Pas le choix : en quelques années, de petits garnements, Ford Tourneo Connect et Fiat Doblo en tête, ont pointé le bout de leur calandre, bien décidés à se tailler une part du gâteau. Un gâteau des plus crémeux. Autrefois marché de niche défraîchi par Renault et son Express Familial, le segment des ludospaces a depuis su séduire une clientèle à la recherche d'un véhicule grand, pratique et surtout moins cher qu'un break ou qu'un monospace. Et tant pis pour sa rusticité et son esthétique cubique.


A la conquête des grands espaces


Tout comme leurs aînés, le couple Berlingo-Partner partage de nombreux éléments et une allure générale similaire, ce qui n'empêche pourtant pas les deux ludospaces d'avoir leurs propres personnalités. Et notamment au niveau de la proue. Lorsque Citroën joue la carte de la sobriété "bon chic, bon genre", Peugeot affirme au contraire sa soif de grands espaces en adoptant des pare-chocs bruts et des protections de soubassement. Un style plus baroudeur encore plus affirmé dans la nouvelle version Outdoor, même si l'aventure n'est ici que de façade : point de différentiel à glissement limité mais une protection moteur et une suspension rehaussée de seulement? 1 cm. A noter toutefois que comme précédemment, une vraie version 4x4 est proposée par le carrossier indépendant Dangel.


Paradoxe à la française


Esthétiquement plus "sauvage" que le Berlingo, le Partner Tepee (nom de la version VP) est nettement plus sage à l'intérieur. A la limite même de la tristesse : le beige qui recouvre les sièges de notre modèle d'essai n'a rien de chatoyant? Pire encore, cette couleur claire ne devrait que très modérément apprécier les week-ends à la campagne... Pour autant, l'ensemble de la finition est de bonne facture et la longévité devrait être au rendez-vous. On regrettera simplement le recours massif aux plastiques durs, même si ce défaut est inhérent à la catégorie, dérivée des utilitaires. Le poste de conduite en apporte malheureusement la preuve : malgré de réels efforts en termes d'ergonomie et de confort, le Partner II conserve la même position de conduite, typique de ce type de véhicules : assise haute et volant très incliné. Il suffit de s'y faire !


Pas de jaloux !


Si le style de nos deux jumeaux permet de les différencier au premier coup d'oeil, le jeu des 7 erreurs est beaucoup moins évident dans l'habitacle. Et pour cause, les astuces découvertes dans le nouveau Berlingo sont intégralement reconduites dans le Partner Tepee. A commencer par la rangée de sièges individuels et amovibles, les nombreux et profonds rangements ou bien encore l'accessibilité à l'arrière, améliorée par des portes latérales coulissantes de plus grande taille. Même constat pour le coffre, qui progresse «seulement» de 50 l. (à 675 litres). Revers de la médaille, le petit Lion n'échappe aux mêmes écueils avec une habitabilité décevante eu égard de la croissance des côtes extérieures (+ 24 cm en longueur à 4,38 m).


L'essence, c'est pas si mal !


Si le 1.6 HDi devrait recueillir la majorité des suffrages sous le capot, les versions essence ne sont pas à négliger notamment dans un usage professionnel. La gamme débute avec le 1.6 16V de 90 ch, qui ne pèse pas lourd face aux 1,5 t du Partner : le manque de reprises oblige constamment d'aller piocher haut dans les tours. Si la mélodie est agréable, la consommation l'est beaucoup moins. Pour un meilleur agrément, mieux vaut donc opter pour la version supérieure de 110 ch, qui demeure toujours 2.000 euros moins chère que son homologue gazole. Excellent point en revanche pour le niveau sonore, nettement mieux maîtrisé que sur le premier Partner. Néanmoins, le côté "caisse de résonance" demeure encore très présent à l'arrière, en raison de l'importante hauteur sous pavillon.


La bataille du volume


Outre le nouveau Kangoo et son frère de sang Berlingo, le Peugeot Partner va devoir faire face à une double concurrence, inédite jusque-là. Tout d'abord celle des petits utilitaires (Bipper Tepee et Citroën Nemo) mais aussi celle des breaks sur base de citadine. Timidement lancée par la VW Polo il y a quelques années, ce segment a par la suite trouvé ses lettres de noblesse avec l'élégante 206 SW et la Skoda Fabia Combi. Et aujourd'hui, ce sont les deuxièmes générations qui prennent le relais, avec en prime une nouvelle venue, la Renault Clio Estate. De même, la Dacia Logan MCV, encore moins chère mais aussi volumineuse que le Partner, pourrait elle aussi avoir son mot à dire. La bataille du volume n'a jamais été aussi serrée?

décapotable bmw


e modèle cabriolet de la M6 est en pleine séance d’essai. Lentement déshabillé, voici les premières images du bolide qui devrait sortir l’été prochain.
Comme pour son coupé M6, BMW enlève progressivement le camouflage de la version cabriolet. Elle sera équipée de la même transmission M que la dernière berline sportive M5.
La décapotable aura sous son capot un moteur 4,4l V8 biturbo ainsi qu’une technologie à injection directe produisant environ 560 chevaux et 680 Nm. Une puissance qui sera répartie sur sept rapports, façon BMW Motorsport.
Parmi les autres améliorations, un pack aérodynamique comptera de nouveaux butoirs et un diffuseur arrière ainsi que de plus grandes roues en alliage. La technologie des disques de frein sera encore plus poussée et le système de volant moteur sera modifié. On ignore encore les détails de ces différentes modifications mais le roadster sera dévoilé progressivement, jusqu’à sa sortie à l’été 2012.

lamborghini gallardo


Avec la Superleggera, Lamborghini donne sa propre conception du "coup de pied au cul". Un véritable concentré ultime de sportivité à l'état pur.

Certes, c'est un peu cru, mais comment le dire autrement ? A chaque changement de rapport, c'est un véritable claque que distille ce taureau furieux d'une incroyable bestialité. Une sensation extrême que vous ne pourrez tout simplement pas ressentir ailleurs. Hé oui, même sur une Ferrari F430 Scuderia.
Alors, bienvenue dans le merveilleux pays de la Superleggera, en fait une Gallardo affûtée, phénomène mécanique que tout pilote-torero souhaiterait dompter !



FERRARI 458

Grand fans de football, les Dubaïotes sont également réputés pour leur fâcheuse tendance à choisir des peintures douteuses pour leurs voitures d'exception. La preuve encore une fois avec ce supporter du Barça !
Le FC Barcelone est indiscutablement le meilleur club de football actuellement, voire même de l'histoire. Il l'a d'ailleurs encore prouvé hier soir en allant battre le Milan AC sur sa pelouse.

Si du côté de la Catalogne, tout le monde vit pour le Barça, à quelques milliers de kilomètres de là, c'est également le cas. Ce Dubaïote fortuné n'a pas hésité à peindre sa Ferrari 458 Italia à l'effigie des joueurs champions d'Espagne et d'Europe en titre.

On retrouve donc sur le capot, le fameux logo du club ainsi que les visages et noms de Lionel Messi et Xavi Hernandez. Sur les flancs, ce sont carrément presque tous les joueurs qui sont représentés.

Pour le moins originale, cette Ferrari 458 Italia risque néanmoins de déplaire aux supporters de l'Espanyol Barcelone ou du Real Madrid. Espérons pour le propriétaire de la voiture que le Barça ne vendent pas tous ses joueurs...

 
Design by Free WordPress Themes | Bloggerized by Lasantha - Premium Blogger Themes | Best WordPress Web Hosting